Titre : | Contribution A L’etude Chimique Du Romarin (ROSMARINUS Officinalis L) Algerien |
Auteurs : | Tahar.Kebir, Directeur de thèse ; Khorsi. Kadda, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Alger: univ-saida, 2013 |
Format : | 60 p. / fig.;tab. / 27 cm. |
Note générale : | Bibliographie |
Langues: | Français |
Langues originales: | Français |
Mots-clés: | chimie ; etude Chimique Du Romarin ; ROSMARINUS Officinalis L ; Algerien |
Résumé : |
L a découverte de ressources naturelles du règne végétal reste capitale pour la mise au point de nouveaux remèdes thérapeutique. La présente étude a porté sur l’espèce Rosmarinus officinalis L qui appartient à la famille de lamiacées, une des familles les plus importantes dans la flore algérienne et les plus utilisées par les thérapeutes traditionnels.Elle a permis de mettre en évidence à travers un criblage phytochimique la présence des tanins, des flavonoïdes, des stérols et polyterpènes, des saponosides, des composés réducteurs et des alcaloides. Tandis que les substances quinones libres et combinées sont totalment absentes dans toutes les parties choisies.Le rendement d’extraction par le méthanol dans les feuilles et les fleurs été plus important à température élevée par un pourcentage de 39 et 38,5 % qu’à température ambiante par un taux de 20,4 et 36,3 % respectivement.Le dosage des phénols totaux les quatre extraits méthanoliques a révélé des teneurs beaucoup plus importantes à haute température dans les feuilles par 0,783 mgEAG/g Ms et dans les fleurs par 0,779 mg/g qu à température ordinaire.L’étude de l’activité antioxydante par la méthode de réduction piégeage de radical libre DPPH • des extraits méthanoliques des feuilles et des fleurs, nous a permis après comparaison à celle de l’acide ascorbique (antioxydant de référence CI 50 0,135) que ces extraits ont un pouvoir antioxydant trop faible.N os perspectives de recherche pour le futur sont les suivantes : - Poursuivre l’étude phytochimique de l’espèce Rosmarinus officinalis L afin d’identifier et isoler d’autres métabolites secondaires contenus dans nos extraits. - Tester d’autres extraits de d’autres solvants de polarités différentes (éther diéthylique,EtOH, H 2 O ...etc.) contre le radical libre DPPH a fin de mesurer le pouvoir antioxydant. |
Note de contenu : |
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBILIOGRAPHIQUE CHAPITRE I - L A PHYTOTHERAPIE ET LES PLANTES Chapitre II- PHYTOCHIMIE DES PLANTES AROMATIQUES DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE CHAPITRE I – MATERELS ET METHODES CHAPITRE II – RESULTATS ET DISCUDDION |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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